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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 174 Etats membres et présente dans plus de 100 pays. L'OIM est présent au Maroc depuis 2007.
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Notre Travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable. La Mission OIM Maroc concentre ses activités autour de trois axes thématiques, à savoir l’axe protection et résilience, l’axe migration, gouvernance et développement et, enfin, l’axe d’appui à la jeunesse.
Ce que nous faisons
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Le Département d'État américain accorde au Système des Nations Unies une subvention de 2,5 millions de dollars pour lutter contre la traite des personnes au Maroc
Rabat- L'ambassadeur des États-Unis au Maroc Puneet Talwar, a accueilli, à la Villa America, une cérémonie officielle annonçant une subvention de 2,5 millions de dollars par le Bureau du Département d'État chargé de surveiller et de combattre la traite des personnes, accordée à l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), et l'Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) et l'Organisation Internationale du Travail (OIT).
Le Directeur de la Commission Nationale Marocaine de Coordination des Mesures de Lutte et de Prévention contre la traite des Personnes, Hicham Mellati, la Coordinatrice Résidente des Nations Unies Nathalie Fustier, la Cheffe de Mission de l'OIM au Maroc, Laura Palatini, la Directrice de Bureau de l'ONUDC, Siham Al Figuigui, et la représentante de l'OIT au Maroc, Aurélia Segatti, ont assisté à la cérémonie aux côtés de représentants marocains et américains. Cette subvention vise à renforcer la détection, l'identification, la protection, le retour et la réintégration des victimes de la traite des personnes.
Étant donné que le Maroc et les États-Unis ont adhéré au Protocole des Nations Unies visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants (connu sous le nom de "Protocole de Palerme"), les pays partenaires ont la responsabilité légale et morale de lutter vigoureusement contre le crime de la traite des personnes.
Grâce à la subvention, les agences des Nations Unies soutiennent le gouvernement marocain pour la mise en place des premiers refuges du pays avec des soins spécialisés pour les victimes de la traite des personnes, garantissant ainsi que les rescapés aient accès à des services complets et spécialisés. Il s'agit de mesures importantes pour la mise en œuvre du Plan National Marocain de Lutte et de Prévention contre la Traite des Personnes 2023-2030, et du Mécanisme National de Référence pour les Victimes de la Traite des Personnes.
Lors de la cérémonie, l'ambassadeur Talwar a salué les efforts du Maroc pour tenir criminellement responsables les trafiquants de personnes, identifier de manière proactive les victimes de la traite et prévenir ce crime odieux. “Nous sommes encouragés par l'approbation et la large diffusion, du gouvernement marocain, d'un guide complet d'identification des victimes. Cela représente une avancée importante dans les efforts pour lutter contre le fléau de la traite des personnes, un objectif que nous partageons tous”, a déclaré l'ambassadeur Talwar.
Mme Nathalie Fustier, Coordinatrice Résidente des Nations Unies au Maroc, a exprimé sa gratitude au gouvernement américain pour son généreux soutien. “Je félicite le Maroc pour ce résultat et réaffirme notre engagement à soutenir davantage le pays dans ses efforts pour prévenir et combattre la traite des personnes, protéger et aider les victimes, et poursuivre les auteurs en justice”, a déclaré Fustier.
Le projet vise à améliorer la protection et le bien-être des victimes tout en les aidant à se remettre du traumatisme de la traite et à s'intégrer socialement et économiquement dans leurs communautés. Le projet aidera également à former les acteurs gouvernementaux et les représentants de la société civile sur les meilleures approches d'identifier de manière proactive les victimes.